La  loi définit ainsi les difficultés «tout fait de nature à compromettre la  continuité de l’exploitation ».
Les signes de difficultés proviennent de l’analyse financière et aussi  de certaines évênements : sous-activité, litiges et contentieux, conflits  sociaux, pertes de marchés, …
L’origine des défaillances se situe bien  souvent parmi les éléments suivants :
  - investissements démesurés par rapport aux  possibilités financières de l’entreprise,
- manque ou insuffisance de capitaux propres, 
- recours trop important à l’endettement,
- erreurs de gestion répétées et lourdes de  conséquences négatives,
- mauvaises décisions ou décisions hasardeuses,
- conflits entre associés, climat social détérioré,
- outil de production et infrastructure peu  performants, retard d’investissement,
- qualification insuffisante du personnel,
- retard ou défaut de paiement des clients,
- difficultés à obtenir des concours bancaires  courants,
- ralentissement de l’activité et baisse du  chiffre d’affaires,
- charges fixes importantes, masse salariale  exagérée,
- absence d’une gestion rigoureuse,
- perte de compétitivité due à des coûts trop  élevés,
- défaut de maîtrise des stocks et de la gestion  des approvisionnements,
- situation de dépendance : sous-traitance,  filiale d’un groupe,
- etc.