Ils doivent être évalués après répartition des bénéfices.
Les retraitements consistent donc à :
- Déduire la fraction de résultat à distribuer (dividendes à payer) et la transférer en dettes à moins d'un an.
- Déduire les actifs fictifs ou non valeurs.
- Déduire la fraction d’impôt à payer (fiscalité latente ou différée) pour des réintégrations ultérieures correspondant aux :
- subventions d’investissements restant à virer aux résultats,
- provisions pour hausse des prix éventuelles,
- aux amortissements dérogatoires à reprendre.
Le montant de l’imposition latente est à transférer dans les dettes à plus d'un an ou à moins d’un an selon les échéances fiscales.
L’actif fictif amortissable peut générer une économie d’impôt due à la déduction de la charge.
Elle augmente la valeur de l’actif net.