Des outils puissants dans un contexte interopérable : la place du BIM
Nous venons de le voir, la simulation numérique est pleine de promesses pour la conception en AEC[1]. Des promesses qui pour parties sont déjà tenues. En revanche, le développement dans le secteur de la construction de la simulation numérique selon les 3 dimensions que nous avons évoqué (temps réel, multi-phénomène couplés et couplage à des systèmes de rendus réalistes) repose sur la transparence, la fiabilité, la facilité et la richesse des échanges des informations du bâtiment. Une interopérabilité qui devient peu à peu réalité grâce à l'avènement du BIM[2] et de son langage conceptuel : les IFC[3].