La maquette numérique du Bâtiment : une convergence internationale

L'essentiel

Résumé

L'absence d'interopérabilité explique les blocages que les professions de l'AEC rencontrent dans la progression de la qualité, de l'économie et des méthodes de travail.

Historique des recherches et expérimentations qui ont conduit à l'adoption d'un standard mondial de communication et de description des entités d'un projet de construction (le BIM normalisé IFC)

Prise de conscience

Il ne suffit plus aujourd'hui d'être un bon professionnel à l'intérieur de son métier. Il faut en plus savoir s'intégrer dans des équipes interopérables, c'est à dire savoir communiquer, donc partager, les données et les résultats techniques de la partie du projet étudiée, sous une forme compatible avec les outils informatiques des autres partenaires. C'est l'objectif de la maquette numérique[1] normalisée.

D'où la nécessité d'un langage (technique) pour se comprendre et dialoguer, c'est-à-dire utiliser un modèle conceptuel[2] unifié.

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  1. maquette numérique

    Modèle d'échange de données informatisées (Modèle EDI du projet) qui véhicule la sémantique. Traduction française de BIM (Building Information model). On distingue la maquette numérique propriétaire de celle normalisée par le standard IFC.

  2. modèle conceptuel

    Description formelle des concepts véhiculés focalisée sur l'aspect sémantique du système d'information. Étape préalable a la constitution d'une base de données ou fichier d'échange.

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