Les cases sont remplies dans la mesure où les données correspondantes sont disponibles et/ou pertinentes.
Le traitement de l'information concernant les cas étudiés doit être effectué avec prudence, surtout si le dossier n'est pas clos et jugé.
Il est clair que suivant le type d'aléa (séisme, inondation, glissement de terrain, écroulement d'immeuble, etc.), les manifestations du sinistre ne sont pas les mêmes. Les dommages subis par les structures lors d'un tremblement de terre sont souvent typiques du déficit de sécurité de l'élément qui atteint le premier sa limite. Pour caractériser ces défaillances, il faut disposer de témoignages et de documents photographiques, connaître la configuration du bâtiment avant son écroulement, les hypothèses adoptées lors de sa conception. Comparer avec les bases de données existantes.
Le traitement post-accident (réparation, démolition, reconstruction, mesures de surveillance) fait partie des données à recueillir. On pourra aussi s'intéresser aussi aux mesures prises pour le confortement d'ouvrages (ou de sites) devenus dangereux (par exemple travaux de confortement de la tour de Pise ou pour traiter l'enfoncement de la ville de Venise, Basilique Saint-François à Assise, etc.).